Chào mung den voi Vinh Ha Long
« Chào mừng đến với Vịnh Hạ Long » Ou autrement dit « Bienvenue à la Baie d’Halong ». Je ne sais pas si c’est toute l’eau que j’ai vue à Paramaribo ces derniers jours ou le fait d’avoir lu un article sur le Vietnam dans un vieux Géo chez une copine (certainement les deux) mais j’ai pensé à cette photo que je ne crois pas avoir publié précédemment. Les magazines envoient de la poudre aux yeux : la baie d’Halong, c’est presque toujours pluvieux et brumeux. Mais il y le karaoké sur le bateau.
Cimetière du camp de la Rélégation à Saint-Jean du Maroni
Le cimetière du Camp de la Relégation est très peu évoqué dans les archives et son histoire reste vague. Redécouvert il y a peu, des efforts sont faits aujourd’hui pour le rendre accessible au public. Chaque tombe est uniquement identifiable par le trou qu’elle forme, le cercueil de bois ayant disparu avec le temps. L’association Meki Wi Libi Na Wan qui s’occupe du site a choisi de laisser pousser des fougères dans ces trous et d’entretenir les passages entre les tombes pour les visiteurs. Le résultat est beau à voir et révèle le nombre impressionnant de tombes sur le site.
Case des officiers BOA du camp de Saint-Jean du Maroni
Le cadre a beau être idyllique, ici on prépare des opérations militaires. Pour prendre ces clichés, j’ai du m’y prendre 1 mois à l’avance, me présenter à 4 capitaines qui ont tous vérifié mes « accréditations » et être accompagné d’un personnel détaché spécialement pour l’occasion. Un endroit bien surveillé…
Cette photo fait partie d’une série qui servira à illustrer une brochure explicative sur le camp de Saint-Jean du Maroni.
Epaves de bateaux sur les berges du Maroni
Les berges du quartier historique de Saint-Laurent du Maroni cachent de nombreuses épaves de bateaux datant de l’époque du bagne. La plus remarquable est « l’Edith Cavell », inratable depuis l’office de tourisme.
Cette photo fait partie d’une série réalisée pour le service Patrimoine de la ville de Saint-Laurent du Maroni, à des fins d’archivages et d’utilisation dans les brochures du service.
Cellule dans la gare de Saint-Laurent du Maroni
Wikipédia indique : « La gare de Saint-Laurent n’était qu’un vaste
hangar bancal couvert de tôles ondulées pour abriter les wagons à
voyageurs. » Mais quels voyageurs ? A voir ces cellules aujourd’hui
prises par la végétation, il est certain que ce n’était pas des
touristes…
Cellule dans la Gare de Saint-Laurent du Maroni
Wikipédia indique : « La gare de Saint-Laurent n’était qu’un vaste hangar bancal couvert de tôles ondulées pour abriter les wagons à voyageurs. » Mais quels voyageurs ? A voir ces cellules aujourd’hui prises par la végétation, il est certain que ce n’était pas des touristes…
Gare ferroviaire de Saint-Laurent du Maroni
C’est bien la gare ferroviaire de Saint-Laurent du Maroni et plus aucun train ne circule ici depuis le bagne. Wikipédia indique : « La gare de Saint-Laurent n’était qu’un vaste hangar bancal couvert de tôles ondulées pour abriter les wagons à voyageurs. Actuellement, il n’en reste qu’une charpente métallique envahie par la brousse. » On ne peut mieux dire !
Epave sur les berges du Maroni
Les berges du quartier historique de Saint-Laurent du Maroni cachent de nombreuses épaves de bateaux datant de l’époque du bagne. Ici, une épave bien conservée derrière le lotissement les Marinas.
Pirogue abandonnée sur les rives du Maroni, Guyane
Bien qu’il faille un visa pour se rendre légalement au Suriname, de nombreux guyanais prennent quotidiennement la pirogue pour se rendre de Saint-Laurent du Maroni jusqu’à Albina, « en face », au Suriname, sans visa, et inversement pour les Surinamais. Ainsi un nombre de pirogues important circulent à cet endroit du fleuve et il n’est pas rare de voir des pirogues à la retraite, abandonnées par leurs propriétaires.
A propos du cliché en lui-même, je ne suis pas forcément convaincu par la composition même si quelque chose me plait suffisamment pour vous la présenter. En l’occurrence, le spot me plait mais je n’ai pas encore trouvé comment bien le mettre en valeur. Je garde notamment ce spot en tête pour un shot de nuit ou avec un filtre ND, afin de donner une consistance plus intéressante à l’arrière plan d’eau et en faire un plan couleur.
Arbres à contreforts sur la Crique Pierre en Guyane Française
Les ballades en canoë sur les criques constituent un moyen très agréable de découvrir la forêt guyanaise. Pas besoin de s’éloigner bien loin de la « civilisation » pour se sentir rapidement en pleine nature, comme ici à quelques kilomètres de Saint-Laurent du Maroni. Les arbres à contreforts que vous voyez ici semblent être des Pterocarpus Officinalis qu’on appelle en créole guyanais « moutouchi marécage ».