Jolies filles à Rio
En fait, le titre, c’est juste pour avoir plus d’audience ! Voilà une scène devenue commune un peu partout dans le monde : un petit selfie sur une belle plage !
Walking on the line
Chaleur accablante, recherche ombre, trouve joli arbre, attends plein soleil qu’homme passe : coup de soleil.
Mini-short
Le mini-short en jean est un must-have pour toutes les brésiliennes, du nord (ici à Marajo) jusqu’aux plages de Rio.
Besoin de personne
Les brésiliens sont des épicuriens, ils ont une insouciance presque énervante parfois. Aller sur la plage n’est donc pas un problème à partir du moment où l’on a envie de le faire !
Transport de marchandises sur l’île de Marajo
Sur l’île de Marajo, dans l’estuaire de l’Amazone au Brésil, on se déplace beaucoup à vélo ou à moto. D’autres fois, à cheval ou à buffle; le reste du temps, chevaux et buffles se promènent librement dans les rues.
Chào mung den voi Vinh Ha Long
« Chào mừng đến với Vịnh Hạ Long » Ou autrement dit « Bienvenue à la Baie d’Halong ». Je ne sais pas si c’est toute l’eau que j’ai vue à Paramaribo ces derniers jours ou le fait d’avoir lu un article sur le Vietnam dans un vieux Géo chez une copine (certainement les deux) mais j’ai pensé à cette photo que je ne crois pas avoir publié précédemment. Les magazines envoient de la poudre aux yeux : la baie d’Halong, c’est presque toujours pluvieux et brumeux. Mais il y le karaoké sur le bateau.
Paramaribo innondée
On pourrait croire que Paramaribo, capitale du Suriname, est bien pensée pour les fortes pluies mais finalement on dirait que non ! Après un gros orage (bon ok, très gros), « Parbo » s’est prise pour une Venise tropicale ce 19 août 2014. Quelques images prises à la volée.
Après la bataille – Art Pasi Festival 2014
Le Art Pasi Festival édition 2014 s’est inspiré de la fête indienne Holi, la fête des couleurs. Le principe ? Se jeter des pots de poudre colorée et être le plus multicolore possible.
Cimetière du camp de la Rélégation à Saint-Jean du Maroni
Le cimetière du Camp de la Relégation est très peu évoqué dans les archives et son histoire reste vague. Redécouvert il y a peu, des efforts sont faits aujourd’hui pour le rendre accessible au public. Chaque tombe est uniquement identifiable par le trou qu’elle forme, le cercueil de bois ayant disparu avec le temps. L’association Meki Wi Libi Na Wan qui s’occupe du site a choisi de laisser pousser des fougères dans ces trous et d’entretenir les passages entre les tombes pour les visiteurs. Le résultat est beau à voir et révèle le nombre impressionnant de tombes sur le site.
Nivelleuse au camp de la rélégation de Saint-Jean du Maroni
Cette niveleuse « SARM / Rhonelle » est un vestige de l’époque du bagne, lorsque Saint-Jean du Maroni hébergeait le camp de la relégation. Ce camp accueillait les bagnards récidivistes pour purger une peine… à vie. Corollaire : le cimetière est bien rempli.