Ah les images d’Angkor, on les a toujours eues dans un coin de la tête. Et cette fois ca y est on y est… Mais on était pas les seuls loooooooin de la, c’était une véritable cohue sur les sites principaux. Oui, c’est très beau mais pour bien prendre sa claque, il a fallu se lever très tôt et aller loin pour éviter les cars d’asiatiques ! Heureusement, nous étions aide par notre chauffeur de tuk-tuk très sympa, Mr. Thy (aka John pour les occidentaux) qui nous a fait nous lever encore plus tôt qu’on le voulait pour aller sur les sites tranquillement. Vous allez voir ici beaucoup de vielles pierres mais c’est très beau ;).

Concernant les mises a jour du blog, c’est irrégulier et long, désolé ! L’upload des photos est treeeess lent depuis les wifi locaux et cela ca nous prend souvent plusieurs fois pour mettre une galerie en ligne.

Jour 1 :

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Jour 2 :

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Jour 3 :

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10h de bateau aujourd’hui avec la descente du Tonle Sap jusqu’au lac du même nom pour finir a Siem Reap. La durée de la traversée s’explique par le fait qu’en saison sèche, la bateau circule a allure très modérée, dans des eaux peu profondes. Une traversée du lever au coucher du soleil qui nous aura apporte une bonne tranche de la vie cambodgienne le long des rivières. A signaler pendant la traversée : un embourbement au milieu de nulle part vite maitrise, une dérive cassée et réparée a même l’eau dans un village lacustre, un pissons libre depuis l’arrière du bateau dans la rivière et une panne finale et complète du moteur ce qui a amène a finir la dernière partie du voyage remorque par un autre bateau. Un très bonne journée 😉

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C’est marrant comme nom de ville, enfin quand on essaye de la prononcer avec l’accent d’un vieux papy chinois parlant français. Tres court passage dans cette ville, juste le temps d’une ballade a vélo dans la campagne, l’occasion de découvrir comment sont faites les feuilles de riz servant pour les rouleaux de printemps, et le moins que l’on puisse dire c’est que c’est bien artisanal. Un liquide légèrement pâteux est obtenu d’une sorte de moulin par écrasement de riz avec de l’eau et ensuite chaque feuille (une a une !) est cuite a la vapeur  quelques secondes. Elles sont mises a sécher ensuite sur des panneaux en bois, le long de la route..

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A notre arrivée dans cette ville, on a eu quelques doutes compte tenu de ses abords un peu dénués d’intérêts. Mais une bonne ballade a vélo est venue arranger ca. Villages lacustres, maisons sur pilotis, gamins partout, on voulait du typique, on a été servi. Beaucoup de charme au final dans cette ville grouillante des qu’on s’approche du fleuve. Par contre, la tenancière de notre guesthouse était une vraie rapace, elle a même tente de nous faire payer deux fois la chambre !

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Phnom Penh est plutôt une grosse ville qu’une capitale, on a plus l’impression d’enchainer les ambiances de quartier que de se sentir oppresses par la ville. Beaucoup de circulation par contre et une chaleur torride (36-37) que nous avons bizarrement bien supportee par rapport a Bangkok. On a surtout profite d’être ici pour faire nos deux prochains visas : Laos et Vietnam (bien cher celui-ci, même en dollars !). Niveau visites : le musée Tuol Sleng  ex-camp S-21 nous a mis une bonne claque a propos des atrocités commises par les Khmers rouges, on est reste abasourdis pendant quelques temps en le quittant; quelques marches sympas aussi : le marche russe, bien typique; le marche central, moderne mais moins charmant. Nouveau colis expédie, notre premier avec la poste cambodgienne, emballe dans un carton de bière laotienne, on espère qu’il va arriver… ! Delai d’acheminement : a partir de 3 mois. On a pas mal glande a notre guesthouse aussi, histoire de ranger un peu les photos et de mettre a jour ce blog !

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On ne sait pourquoi mais les cambodgiens ont appelle cette ile, l’ile aux lapins. Elle n’en a ni la forme, ni l’apparence. On n’y trouve pas non plus de lapins mais plutôt des crabes et une trentaine de bungalows pas chers pour se reposer a moindre frais (5$) et profiter de la plage. Bon,  c’était pas comme les plages de notre ile secrète mais elle a bien rempli son office de dernière plage avant un bon moment. Et oui, la suite du voyage se passera dans les terres, bye bye les iles !

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Quand la gourmandise nous tient… : l’étape a Kampot nous a attire parce que son poivre est réputé, surtout lorsqu’il est cuisine avec des crabes. Verdict, ahhhhh, on s’est régalé. Charmante vieille bourgade coloniale, il n’y a pourtant pas grand chose a faire a Kampot. Une première journée en moto a été l’occasion de découvrir la campagne alentour (on n’a pas le choix quand on est perdu de toute façon) ; et le deuxième jour, nous avons pris pour la première fois un « tour » organise sur la journée pour nous rendre au Bokor National Park.  Même si l’ambiance groupe nous a vite saoule, la ballade valait le coup avec un viel hôtel abandonne en guest-star. Le mieux est de regarder les photos 😉

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